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vieraskieliset / en-francais

Pardonner, c’est calmant et agréable

Siionin Lähetyslehti
vieraskieliset / en-francais
26.9.2018 16.07

Juttua muokattu:

31.12. 09:28
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Trois fil­les jou­ent en­semb­le dans la cour et réfléchis­sent sur deux cho­ses im­por­tan­tes : de­man­der par­don et par­don­ner.

Il s’agit de deux amies ve­nan­tes du sud de la Fin­lan­de, Lil­ja Kla­si­la et Bet­tii­na Tuo­maa­la, ain­si que la cou­si­ne de Bet­tii­na, Ron­ja Koi­vis­to, qui vient du nord de la Fin­lan­de. Les trois fil­les font le CM1.

–Si qu­el­qu’un a mal fait, il faut qu’il de­man­de par­don. Pa­reil s’il s’est mo­qué de qu­el­qu’un, dit Lil­ja.

–Il faut aus­si de­man­der par­don s’il y a eu des qu­e­rel­les, dit Ron­ja.

–Et puis si on pous­se ou fait mal à qu­el­qu’un par ac­ci­dent, il est bon de dire par­don, ajou­te Lil­ja.

De­man­der par­don n’est pas tou­jours fa­ci­le se­lon les fil­les.

Il n’est pas tou­jours pos­sib­le de fai­re la récon­ci­li­a­ti­on im­mé­di­a­te­ment. En général il est plus fa­ci­le de par­don­ner que de­man­der par­don.

– Par­fois c’est fa­ci­le de de­man­der par­don et par­fois c’est dif­fi­ci­le. Au cas où on ne veut pas de­man­der par­don ni par­don­ner, tous les deux se sen­ti­ront mal, pen­se Lil­ja.

– Qu­and on sait qu’on a fait du mal à une aut­re per­son­ne, cela rend vrai­ment tris­te, dit Bet­tii­na.

Jésus à don­ne un don précie­ux à cha­que cro­yant : le pou­voir de par­don­ner les pêches de l’un et l’aut­re au nom et au sang de Jésus.

Les pa­rents se par­don­nent aus­si ent­re eux dans la même ma­niè­re et ils par­don­nent leurs en­fants. Se­lon les fil­les les mots du par­don sont cal­mants et agr­éab­les.

À l’école aus­si on a be­soin de con­naît­re le par­don. Cer­tains ont be­soin de plus de temps pour se récon­ci­lier et cer­tains aut­res sont plus ra­pi­des. Les fil­les ra­con­tent qu’il est bon qu’un en­seig­nant ou un aut­re adul­te sou­vent ai­de les en­fants à se récon­ci­lier ent­re eux.

Qu­el­qu­e­fois nos trois co­pi­nes aus­si ont des désac­cords ent­re el­les. – En ce mo­ment nous res­tons si­len­cie­u­ses pour qu­el­qu­es ins­tants, puis nous par­lons un peu et après nous som­mes déjà prêtes à de­man­der par­don, ra­con­te Lil­ja.

Tex­te : Han­na Kor­ki­a­kos­ki

Tra­duc­ti­on : EG

Jul­kais­tu rans­kan­kie­li­ses­sä nu­me­ros­sa 22.8.2018