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vieraskieliset / en-francais

Jésus, le vainqueur des tentations

Siionin Lähetyslehti
vieraskieliset / en-francais
15.11.2017 6.59

Juttua muokattu:

1.1. 11:20
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A la priè­re Not­re Père nous de­man­dons « Ne nous sou­mets pas à la ten­ta­ti­on ». Les ten­ta­ti­ons sont des séduc­ti­ons qui, si nous les ap­p­rou­vons, nous amè­nent aux mau­vai­ses ac­ti­ons, c’est-à-dire aux péchés.

On exp­li­que dans Le Grand Catéc­his­me de Mar­tin Lut­her, que nous som­mes tentés par not­re chair, le Mon­de et l’en­ne­mi des âmes. La chair sig­ni­fie not­re hu­ma­nité qui est inf­lu­enc­ée par le péché ori­gi­nel. Le Mon­de sig­ni­fie des non-cro­yants qui se sont égarés de Dieu. L’en­ne­mi des âmes est l’op­po­sant de Dieu qui cherc­he par tous les mo­yens à gêner le bon tra­vail de Dieu.

Tous ses trois ad­ver­sai­res nous rap­por­tent des si­tu­a­ti­ons sédui­san­tes qui nous sont dif­fi­ci­les à empêc­her. Lut­her dit que nous ne pou­vons pas par nos prop­res for­ces empêc­her des ten­ta­ti­ons. C’est pour­quoi nous de­vons prier Dieu de tout not­re co­eur : « Ne me per­met pas de tom­ber à la ten­ta­ti­on ».

Les ten­ta­ti­ons sédui­sent

Le di­ab­le, l’en­ne­mi des âmes, a tenté même Jésus. Qu­and Jésus avait faim il a de­mandé à Jésus de trans­for­mer les pier­res aux pains. Nous avons ap­p­ris des ten­ta­ti­ons de Jésus que sou­vent les ten­ta­ti­ons n’ont pas l’air d’être dan­ge­reu­ses ou faus­ses. L’en­ne­mi sait uti­li­ser de bon­nes cho­ses à ses ob­jec­tifs. Qu’est-ce qu’il y a de faux si on man­ge qu­and on a faim ?

L’en­ne­mi sait pro­fi­ter des si­tu­a­ti­ons où nous som­mes faib­les. Ce­lui qui a faim, il séduit par le man­ger. Mais pour­quoi Jésus n’a-t-il pas trans­formé les pier­res aux pains ? Il n’ob­éis­sait pas au Di­ab­le, mais il répon­dit : « L’hom­me ne viv­ra pas de pain seu­le­ment, mais de tou­te pa­ro­le qui sort de la bouc­he de Dieu. » (Mat­th 4 : 4) Jésus en­seig­na que la Pa­ro­le de Dieu nour­rit l’âme de l’hom­me.

L’en­ne­mi ne vainc pas la Pa­ro­le de Dieu

Le Di­ab­le séduit l’hom­me au péché en lui pro­met­tant qu­el­que chose de grand. En ef­fet, il a pro­mis la pro­tec­ti­on par­fai­te de Dieu à Jésus. Pour­tant, le Di­ab­le n’agit pas se­lon ses pro­mes­ses. Il n’est même pas ca­pab­le d’as­su­rer que Dieu nous préser­ve d’un dan­ger si nous nous y met­tons in­ten­ti­on­nel­le­ment.

L’en­ne­mi est men­teur et le père du men­son­ge (Jean 8 : 44). Il n’es­saie même pas de gar­der la vérité, mais il uti­li­se des men­son­ges et de faus­ses pro­mes­ses. Jésus a vain­qu tou­tes les ten­ta­ti­ons du Di­ab­le par la Pa­ro­le de Dieu. Il a tou­jours répon­du simp­le­ment com­ment est écrit dans la Bib­le. Jésus n’a pas com­mencé à dis­pu­ter et il n’a non plus es­sa­yé d’être plus ta­len­tu­eux que l’en­ne­mi. Il n’a pas es­sa­yé de con­vainc­re l’en­ne­mi par ses prop­res for­ces mais a in­vo­qué Dieu et sa Pa­ro­le.

De­vant la vérité de la Pa­ro­le de Dieu, le Di­ab­le ne peut rien. Par cont­re, il doit tou­jours céder et avan­cer à une nou­vel­le ten­ta­ti­on. On ne peut pas rend­re la Pa­ro­le de Dieu inu­ti­le car cet­te Pa­ro­le du­re­ra éter­nel­le­ment.

Jésus n’est pas tombé à la ten­ta­ti­on

Jésus a expé­ri­menté tou­tes nos ten­ta­ti­ons. Il les a vain­qu­es, car il n’a pas com­mis de péché. Nous ne som­mes pas ca­pab­les de vainc­re nos ten­ta­ti­ons. Par­fois nous ne les vo­yons même pas en avan­ce. Nous som­mes faib­les de­vant el­les, Jésus le sait.

Dans l’épit­re aux Hébreux on nous con­so­le : « Car nous n’avons pas un sou­ve­rain sac­ri­fi­ca­teur qui ne puis­se com­pa­tir à nos faib­les­ses ; au cont­rai­re, il a été tenté com­me nous en tou­tes cho­ses, sans com­met­t­re de péché. Ap­p­roc­hons-nous donc avec as­su­ran­ce du trône de la grâce, afin d’ob­te­nir misé­ri­cor­de et de trou­ver grâce, pour être se­cou­rus dans nos be­soins. » (Hébr 4 : 15–16)

Not­re Sau­veur im­ma­culé peut nous déliv­rer de nos péchés. Au trône de la grâce dans le ro­yau­me de Dieu, on nous prêche tou­jours le par­don de tous nos péchés au nom de Jésus et à son sang.

Tex­te : Ilk­ka Leh­to

Sour­ce : Päi­vä­mies 6/2016

Tra­duc­ti­on : EA

Jul­kais­tu rans­kan­kie­li­ses­sä nu­me­ros­sa 15.11.2017