Paul écrit aux Ro­mains : « Car le ro­yau­me de Dieu, ce n’est pas le man­ger et le boi­re, mais la jus­ti­ce, la paix et la joie, par le Saint-Esp­rit. » (Rom. 14 :17) Est-ce que tu as été in­vité au ro­yau­me de Dieu ? Sais-tu ce que c’est que sen­tir la jus­ti­ce, la paix et la joie ?

Un hom­me peut ent­rer dans le ro­yau­me de Dieu en re­cou­rant à l’œuv­re de la rédemp­ti­on du fils de Dieu, Jésus Christ. Jésus na­quit sur la ter­re et mou­rut sur la croix pour nous tous. Il n’avait pas péché, mais il avait pro­mis à son père de su­bir le châti­ment des­tiné aux hom­mes pécheurs. Not­re sa­lut dépend de cet­te œuv­re.

En re­cou­rant à Jésus, tu peux croi­re que tes péchés sont par­don­nés. Avec la rémis­si­on des péchés, Dieu don­ne au cœur de l’hom­me le Saint-Esp­rit (Éph 1.13), qui le gui­de au mi­lieu de la vie quo­ti­dien­ne. La foi et la con­fi­an­ce en Dieu nous don­nent la sûreté pour la vie.

Mar­tin Lut­her, le réfor­ma­teur de l’Église al­le­mand, a écrit un poè­me sur la sûreté que Dieu nous don­ne dans son ro­yau­me: bien que l’hom­me puis­se perd­re son ar­gent et ses biens, ou même sa fa­mil­le et ses amis, per­son­ne, même pas l’en­ne­mi de Dieu, ne peut lui ôter la paix de Dieu.

Plus le mon­de de­vient tur­bu­lent, plus la paix inté­rie­u­re a de va­leur. On peut gar­der cet­te paix même au mi­lieu de la gu­er­re et de la vi­o­len­ce. On peut la gar­der même là où la ma­jo­rité des hom­mes négli­gent la pa­ro­le de Dieu.

« Ne vous in­quié­tez de rien ; mais en tou­te chose fai­tes con­naît­re vos be­soins à Dieu par des priè­res et des sup­p­li­ca­ti­ons, avec des ac­ti­ons de grâces. Et la paix de Dieu, qui sur­pas­se tou­te in­tel­li­gen­ce, gar­de­ra vos cœurs et vos pens­ées en Jésus-Christ. » (Phil 4 :6 – 7)

Cher lec­teur, je veux te sou­hai­ter cet­te paix de l’âme.

Kat­ri Iso­pah­ka­la, l’édi­teur du sup­plé­ment fran­cop­ho­ne.

Tra­duc­ti­on : Lii­sa Vuo­no­ka­ri-Bomst­röm

Jul­kais­tu rans­kan­kie­li­ses­sä kie­li­liit­tees­sä 6.5.2015.